Augmentation du gaz
Gaz de France demandait une augmentation de ses tarifs de 12% : aujourd’hui c’est chose faite. M. Thierry Breton annonce des mesures qui amènent à une augmentation de 3,8%, mais ce n'est pas pour autant qu'on a renoncé aux 12% initiaux...
La hausse effective sera bien de 12% : la hausse moyenne de 3,8% vient de mesures d’accompagnement : la diminution du coût de l’abonnement. D’ailleurs, celle-ci sera sans doute remise en cause dans les prochains mois.
Les calculs du Ministère, établis à partir d’un logement de moins de 100m², ne répondent pas à tous les cas de figure : chauffer une maison revient plus cher qu'un appartement et les températures hivernales sont variables.
Les mesures commerciales prises par GDF à la demande du Gouvernement vont tout juste apporter un ballon d’oxygène à certaines familles et ne sont pas de nature à nous satisfaire. La hausse du prix du gaz reste trop élevée compte tenu de celles déjà intervenues en 2004 et 2005.
La CLCV demande que l’on remette sur la table :
- le mode de calcul des augmentations du prix du gaz ;
- la structure tarifaire y compris celle de l’abonnement ;
- les modalités de facturation aux différents types de clients
La hausse effective sera bien de 12% : la hausse moyenne de 3,8% vient de mesures d’accompagnement : la diminution du coût de l’abonnement. D’ailleurs, celle-ci sera sans doute remise en cause dans les prochains mois.
Les calculs du Ministère, établis à partir d’un logement de moins de 100m², ne répondent pas à tous les cas de figure : chauffer une maison revient plus cher qu'un appartement et les températures hivernales sont variables.
Les mesures commerciales prises par GDF à la demande du Gouvernement vont tout juste apporter un ballon d’oxygène à certaines familles et ne sont pas de nature à nous satisfaire. La hausse du prix du gaz reste trop élevée compte tenu de celles déjà intervenues en 2004 et 2005.
Or il ne faut pas oublier que les ménages sont prisonniers du mode de chauffage, qu’ils ont choisi compte tenu du prix d’une installation et du temps nécessaire pour l’amortir.
La CLCV demande que l’on remette sur la table :
- le mode de calcul des augmentations du prix du gaz ;
- la structure tarifaire y compris celle de l’abonnement ;
- les modalités de facturation aux différents types de clients